Archives de Tag: bibliothèques

Bibliothèques et innovation

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Bibliothèques et innovation… l’alliance peut sembler à certains (mais qui ???) contre nature, et pourtant les bibliothèques – et plus largement les institutions patrimoniales, archives, musées – sont d’incroyables creusets d’innovation, aussi bien technique (web de données, fouille de données, web mobile, datavisualisation, etc.) que d’usages (crowdsourcing, open data, fab labs, bibliobox, etc.).

CC BY-NC-SA VancityAllie (Flickr).

Mitonnons l’innovation en bibliothèques… Miam !
CC BY-NC-SA VancityAllie (Flickr).

Le BBF consacre ainsi son dernier numéro à l’innovation dans le domaine patrimonial, et plus particulièrement en bibliothèques. On y découvre des expérimentations passionnantes autour des bibliothèques numériques, de l’interopérabilité des données patrimoniales, des digital humanities, de la médiation numérique, de la culture participative. A lire de toute urgence !

Pour aller plus loin, on peut regarder la synthèse L’innovation en bibliothèque (2013) de Thomas Chaimbault, qui multiplie des exemples plus bluffants les uns que les autres… D’autres chouettes exemples (bien que moins contextualisés) sont recensés dans le livre blanc La bibliothèque quatrième lieu, espace physique et/ou d’apprentissage social (2012) de Victoria Pérès-Labourdette Lembé. N’oublions pas non plus bien entendu les projets de l’initiative Biblio Remix, qui invitent à repenser complètement l’espace de la bibliothèque et ses relations avec les usagers.

… et tant d’autres qu’il est impossible de tous les citer (vous admirerez la pirouette pour éviter qu’on me reproche quelque oubli)… N’hésitez pas à indiquer en commentaire d’autres projets innovants, pour enrichir collaborativement la liste ! Citons aussi l’initiative de l’Enssib qui se propose, à travers les billets de son EnssibLab, de fournir une veille régulière sur les projets d’innovation numérique en bibliothèques.

Et comment ne pas terminer en signalant que se tient en ce moment même le premier hackathon Dataculture organisé par le ministère de la Culture autour des données publiques culturelles numériques (même s’il ne concerne pas QUE les bibliothèques, ne soyons pas sectaires) ? Jugez plutôt :

Pourquoi consacrer un week-end d’automne à imaginer, designer et coder des applis, alors que vous pourriez le passer tranquillement chez vous à mitonner, avaler des séries ou lire un bon livre ?

D’abord parce que c’est le premier événement de ce type organisé par le ministère de la Culture et de la Communication. Il s’inscrit dans une démarche forte du ministère visant à favoriser l’appropriation par le plus grand nombre des données publiques culturelles, afin de rendre la culture plus accessible.

A cette occasion, le ministère libérera plus d’une centaine de jeux de données issus des établissements culturels français. Ceux-ci viendront s’ajouter aux données publiques déjà disponibles sur data.gouv.fr. La liste des données mobilisées pour ce hackathon sera bien disponible sur data.gouv.fr.

L’enjeu de ce hackathon est avant tout créatif : il s’agit de concevoir des services utiles, innovants et ludiques qui favoriseront la transmission culturelle et permettront au public dont les plus jeunes d’enrichir leurs connaissances.

En attendant la synthèse de ce hackathon (vivement, vivement), il ne nous reste qu’à suivre en direct sur Twitter le récit des aventures des dataculturistes…

Bon, alors, il y a encore des incrédules  pour nier l’esprit d’innovation des bibliothèques ? Là, je ne peux plus rien pour vous…

Les bibliothèques dans l’écosystème du web

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Pour la deuxième année, j’ai la chance et l’honneur d’intervenir dans le stage CNFPT Biblioquest sur les impacts stratégiques du numérique en bibliothèque.

Biblioquest, la quête épique des bibliochevaliers sans peur et sans reproche…
(CC BY-NC-SA Dunechaser, source Flickr)

Pour le premier épisode de la nouvelle saison de Biblioquest, 13 stagiaires triés sur le volet et 3 formateurs dynamiques… et une plongée dans l’écosystème du web, pour comprendre le contexte technique et d’usages dans lequel s’exerce la présence en ligne et la médiation numérique des institutions culturelles.

Alors, quelles sont les grandes tendances et les grands enjeux du web, aujoud’hui et demain, et surtout quelles conséquences pour les bibliothèques ?

Découvrez également ici la présentation des différents outils (blogs, wikis, réseaux sociaux, outils de veille, etc.) à la disposition des bibliothécaires pour la mise en place de leurs stratégies de diffusion, de dissémination et de médiation numériques ; les besoins auxquels ces outils peuvent répondre ; les services qu’ils peuvent rendre à nos publics ; les bonnes pratiques et usages courants de ces outils.

Les Gallicanautes ont la parole

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La bibliothèque numérique Gallica est décidément très à l’écoute de ses usagers.  Il n’est plus besoin de présenter son incontournable compte Facebook (et ses énigmes du vendredi, addictives !), ses 8000 fans parlent d’eux-mêmes (enfin, écrivent d’eux-mêmes, enfin, vous m’avez compris). Le compte Twitter @GallicaBnF est peut-être un peu moins connu du grand public (presque 3000 abonnés, tout de même), mais présente la grande originalité de mettre en avant toute la communauté des Gallicanautes qui utilisent les ressources de la bibliothèque numérique. Bref, les usagers de Gallica ne manquent pas de lieux pour s’exprimer…!

delivrez les livres

Affiche de mai 68. Source : BnF, Gallica http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90182905.

Et voici que Gallica en appelle à tous ses usagers (même ceux qui ne fréquentent pas les réseaux sociaux, il y en a, si, si) pour une enquête sur les contenus, l’ergonomie, les services, les évolutions souhaitées de l’outil. Alors, à vos claviers!, aidez-nous à faire progresser encore Gallica.

Des wikipédiens partout…

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[Note pour moi : quand on a 12 brouillons de billets de blog commencés que l’on n’arrive pas à trouver le temps de finir, c’est qu’il y a un problème… Pas besoin de 30 lignes de digressions sur les poissons rouges pour annoncer une nouveauté ou le résultat de ta veille du jour. Archives masala, ma vieille branche, tu vas me faire le plaisir d’apprendre à faire des billets courts sinon ça va mal se passer…!]

[Il faut savoir être ferme avec soi-même.]

Donc…

Les Archives nationales des Etats-Unis (NARA) ont annoncé il y a peu l’accueil à partir de ce mois de mai d’un wikipédien en résidence, pour développer la coopération entre la vénérable institution et Wikipédia, pour renforcer la communication entre archivistes et wikipédiens, et pour contribuer à l’amélioration de la qualité des articles de la Wikipédia anglophone.

  • L’annonce, c’est ici.
  • La déclaration d’intention de l’Archiviste des États-Unis, c’est .
muguet

Le mai, le joli mois de mai. "1er mai 1911, le muguet : photographie de presse, Agence Rol" (BnF, Gallica http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6916209d)

muguet_mode

Allez, encore une, juste pour le plaisir... (BnF, Gallica, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9007865k)

Rappelons que les projets Wikimédia cherchent à développer les partenariats avec les institutions culturelles (les GLAM : Galleries, Libraries, Archives, Museums), comme l’a bien montré en France l’organisation en décembre dernier des Rencontres Wikimédia « Patrimoine culturel et Web collaboratif ».

(et vous, je ne sais pas, mais moi j’ai tout de suite très envie de collaborer avec des gens qui m’appellent GLAM…)

Deux pistes principales de coopération se développent : la mise à disposition d’images, de textes ou de données structurées par les institutions culturelles sur les différents projets Wikimédia, ou l’accueil de wikimédiens en résidence dans ces institutions, pour monter des projets innovants.

Après le British Museum et le Château de Versailles, le projet du NARA constituera la première résidence d’un wikipédien dans un service d’archives… Mais pas la dernière, assurément ?

Et que dire de l’organisation prochaine (le 4 juin) d’un « Editathon » à la British Library…? Des Wikipédiens, aguerris ou débutants, des conservateurs, des collections et ressources de la bibliothèque, du wifi partout, de la bière qui coule à flot (bon, là je prends peut-être mes rêves pour des réalités…), et la création ou amélioration de nombreuses notices de Wikipédia concernant la littérature et plus largement les collections de la British Library.

… où l’on voit que les Wikipédiens et les GLAM ne manquent décidément pas d’imagination…!

Hands of a Leakey, Texas

On trouve de tout, au NARA ! "Hands of a Leakey, Texas, Resident Holding a Can of Beer, near San Antonio, 05/1973" (US National Archives, Flickr Commons http://arcweb.archives.gov/arc/action/ExternalIdSearch?id=554847)

Un beau matin sur Facebook, les bibliothèques…

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En à peine un mois, deux bibliothèques françaises lancent des services inédits sur Facebook, ça vaut bien un petit billet de blog, non ? De toute façon, même si vous n’êtes pas d’accord, c’est encore moi qui décide ici, donc…

facebook

CC BY-NC pshab, source : Flickr.

La BnF, tout d’abord, permet depuis le 15 février dernier d’exporter le lecteur de Gallica sur Facebook. Autrement dit, vous pouvez publier directement sur votre mur n’importe quel document numérisé présent sur Gallica, et vos amis pourront le consulter sans quitter Facebook, et avec les jolies flèches vertes de défilement typiques de Gallica (ça ne semble rien, mais c’est important les flèches vertes, d’abord parce que c’est joli et flashy et ça c’est déjà un argument en soi, mais aussi parce que c’est l’identité graphique de Gallica qui est ainsi rappelée, et encore parce que cela met visuellement et intuitivement en avant la fonctionnalité de défilement de pages qui fait tout l’intérêt de ce service, fin de la parenthèse la plus longue de l’histoire de la parenthèse).

Par exemple, prenons un exemple complètement au hasard…

poesies_gourmandesMais aussi pourquoi pas, dans un autre registre (on trouve de tout sur Gallica) :

archives_nationalesAutant que je sache, ce lecteur exportable de bibliothèque numérique sur Facebook est  une première mondiale !

Et voilà-t-y pas que pas plus tard qu’aujourd’hui la bibliothèque municipale d’Angers nous offre la consultation de son catalogue directement sur son mur Facebook !

D’autres s’y étaient essayé auparavant avec plus ou moins de succès, mais il s’agissait généralement soit d’un simple formulaire d’interrogation renvoyant ensuite pour l’affichage des réponses sur le site de la bibliothèque (et c’est déjà beaucoup, les Archives pourraient en prendre de la graine, tenez, ça tombe bien, aka Reup vous donne même le mode d’emploi…), soit d’une intégration assez moche du catalogue de la bibliothèque dans un frame Facebook.

Alors que sur la page de la BM d’Angers, le catalogue s’intègre parfaitement.

catalogue_bm_angerscatalogue_bm_angers2C’est plutôt réussi, hein ?

Quand les institutions culturelles découvrent Wikimédia et les wikimédiens…

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L’association Wikimédia France a signé samedi dernier 2 octobre 2010 une convention de partenariat avec la ville de Toulouse, qui concerne plus particulièrement le muséum d’histoire naturelle (ce qui n’étonnera personne), mais aussi les Archives municipales.

Ce projet, l’une des premières collaborations officielles en France entre Wikimédia et des institutions culturelles, attire l’attention du milieu culturel  sur les expériences qui peuvent être ainsi réalisées, et sur les atouts que représentent les projets Wikimédia et la communauté des wikimédiens pour la numérisation et la diffusion du patrimoine.

Toulouse, la ville rose

Ça tourne bien rond dans la ville rose. T-bet, 2008, CC-BY-ND, source: Flickr.

Wikimédia ? C’est quoi ?

“Attention, Archives masala, tu as fait une faute de frappe, c’est WikiPédia, pas WikiMédia.”

Ben oui mais non.
Wikimédia France, association loi de 1901 créée en 2004, soutient les projets de la Wikimedia Foundation, dont fait partie Wikipédia, mais pas que. Il y a aussi la médiathèque Wikimédia Commons, le dictionnaire Wiktionnaire, le recueil de citations Wikiquote, la bibliothèque numérique Wikisource, etc.

Wiki

Je lit le hawaïen dans le texte, c'est la classe. Andjam79, 2007, CC-BY, source : Flickr.

Pour ceux qui se seraient égarés dans une faille spatio-temporelle pendant les 10 dernières années, Wikipédia est une encyclopédie collaborative sur le Web, fonctionnant sur le principe du wiki. Un wiki (mot hawaïen qui signifie “rapide”) est un système de gestion de contenu de site Web rendant les pages modifiables par tous. Le contenu de Wikipedia est donc vérifiable, modifiable et améliorable par tout un chacun (est-ce que ça suscite des vocations ?), et librement réutilisable. Cette semaine, le millionnième article en français a été créé. Ça le fait, non ?

Bref, revenons à nos moutons, et à Wikimédia pendant qu’on y est. Outre des activités de promotion et de communication, l’association est chargée de monter des partenariats avec des organismes ou institutions administratives ou culturelles qui peuvent fournir des contenus libres aux projets Wikimedia. Elle peut également aider à la numérisation de contenus.

wikimedia

C'est la danse des wikis.

La culture, c’est GLAM !

Autrement dit, “Galleries, Libraries, Archives, Museums”. Wikimedia s’efforce donc de développer des collaborations avec des institutions culturelles. Ces organismes conservent en effet des fonds et collections très riches, souvent libres de droits, qui peuvent enrichir le contenu de Wikipédia et être ainsi mis à disposition de tous les internautes.

Glamour, on vous le dit !

glamour

Glamour kills... et le rose bonbon aussi, un peu. (Naydeeyah, 2009, CC-BY, source : Flickr)

Un atelier Wikimedia@MW2010 s’est ainsi tenu lors de la conférence Museums & the Web 2010, pour réfléchir à l’établissement de bonnes pratiques de coopération entre Wikimédia et les musées.
Des conférences GLAM-Wiki s’efforcent de renforcer la participation du monde culturel aux projets Wikimédia, à l’échelle d’un pays : la première a eu lieu en 2009 en Australie, et la suivante se tiendra très prochainement au Royaume-Uni (26-27 novembre 2010).
Et en France, me direz-vous, chauvins que vous êtes ? Eh bien rendez-vous les 3 et 4 décembre 2010 pour les Rencontres Wikimédia organisées par Wikimédia France, sur le thème «Patrimoine culturel et web collaboratif». Que du bon en perspective…

Bon, et concrètement, ça donne quoi ?

Plusieurs expérimentations réalisées par des services d’archives, des bibliothèques, des musées explorent les possibilités de coopération avec les différents projets Wikimédia. Retour sur quelques exemples européens.

  • Le précurseur : les Archives fédérales allemandes (Bundesarchiv) sur Wikimedia Commons
bundesarchiv

Petit wiki deviendra grand. (Deutsches Bundesarchiv, Bild 183 1984-0202-506, CC-BY-SA, source : Wikimédia Commons)

La médiathèque Wikimedia Commons est un répertoire d’images et de fichiers multimédia libres d’utilisation, qui sert de réservoir pour l’ensemble des autres projets Wikimédia.
Depuis 2008, le Bundesarchiv a transféré sur Wikimédia Commons pas moins de 80.000 images sur l’histoire de l’Allemagne, placées sous licence Creative Commons. Il s’agit vraisemblablement du don le plus important jamais fait aux projets Wikimedia. Ces images sont ensuite réutilisées notamment pour illustrer les notices de Wikipédia.
Le Bundesarchiv promeut ainsi son image et ses fonds auprès des millions d’utilisateurs de Wikipédia.

  • Une expérience inédite du British museum : un wikipédien en résidence

Dans la concertation entre institutions culturelles et Wikimédia, le plus gros du travail semble être précisément la sensibilisation de ces institutions aux enjeux de la mise en ligne de leurs contenus sur Wikipédia.
A la suite de la conférence GLAM-Wiki australienne en 2009, le vice-président de Wikimédia Australie a conclu que le meilleur moyen de mettre en œuvre ce travail de sensibilisation pourrait bien être d’intégrer un wikipédien à l’équipe d’un musée.
Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd puisqu’il a été invité en résidence pendant 5 semaines par le British muséum en juin 2010. Bien joué !
Sa mission, puisqu’il l’a acceptée, était de créer et améliorer les articles sur Wikipédia concernant des objets ou des sujets liés aux collections et à l’expertise du musée, de soutenir les wikipédiens qui éditent des articles liés au British Museum, et de travailler avec les équipes du musée pour expliquer le fonctionnement de Wikipédia.
Des projets et animations originaux ont ainsi vu le jour, qui ont largement contribué à développer le nombre et la qualité des articles relatifs aux objets conservés au British museum : accès des wikipédiens aux réserves du musée, organisation d’un concours de notices autour d’un objet-phare, attribution de prix aux meilleures notices, etc.

Ledit wikipédien propose ici un « testament politique » de son expérience, à la fois bilan de ses réalisations et préconisations pour tout organisme qui voudrait renouveler l’exercice. Des candidats ?

  • Les bibliothèques s’y mettent ! La BnF mise sur le participatif

En avril 2010, Wikimédia France et la BnF signent un partenariat pour la mise en ligne sur Wikisource de la transcription de 1400 œuvres tombées dans le domaine public provenant de Gallica.
Wikisource, créé en 2003, propose des retranscriptions d’œuvres tombées dans le domaine public ou publiées sous licence libre.
Les textes fournis par la BnF ont été numérisés et océrisés. Toutefois, sur des textes anciens, la reconnaissance automatique des caractères introduit souvent des erreurs. Le partenariat avec Wikimédia permet aux internautes de participer à la correction des textes.

  • Et Toulouse dans tout ça ?

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Parure de l'âge du bronze. C'est coquet ! Muséum de Toulouse, CC-BY-SA, source : Wikimédia Commons.

Le 2 octobre 2010, Wikimédia France a signé un partenariat avec la ville de Toulouse, dans le cadre du festival culturel Novela.  Il s’agit de fournir un cadre officiel au développement de nombreux projets avec des institutions culturelles toulousaines.
Ainsi, des wikimédiens vont photographier un millier d’objets de la collection préhistorique dans les réserves du Museum de Toulouse, encadrés par un professionnel du musée. Ces images seront mises en ligne sur Wikimedia Commons. Les métadonnées seront rédigées par des paléontologues.
De même, les Archives municipales de Toulouse proposeront sur Wikimedia Commons environ 200 photographies issues du fonds Eugène Trutat, photographe de la fin du XIXe siècle.

Pour en savoir plus.

[mise à jour 06/10/2010] Liam Wyatt, le « wikipédien en résidence » du British Museum, est au mois d’octobre 2010 invité pour 2 semaines à la Bibliothèque nationale des Pays-Bas pour proposer des pistes de coopération entre le portail culturel européen Européana et Wikimédia. A suivre… 

[mise à jour 18/11/2010] Les Archives nationales des Pays-bas ont également établi un partenariat avec Wikimédia : plus de 1000 photographies de l’agence de presse Anefo, portant sur des personnalités politiques et des événements néerlandais, ont été déposées sur Wikimédia Commons en septembre 2010.